Technistub était présent sur le salon COGITO ce jeudi 28 novembre pour parler des fablabs. Les thèmes du salon sont l’économie numérique, l’intelligence économique et la conception innovante. Autant dire que nous étions pile dans ces thèmes !

Le stand TV juste à côté du stand des fablab !

Au premier plan, le stand AV Lab et au fond celui de Technistub. Une photo issue de l’article des DNA du 29/11/2013.

Cléo du fablab Strasbourgeois AV Lab présente le concept des fablab et leurs fonctionnements.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De nombreux autres fablab étaient venus pour présenter la richesse et la diversité de ces lieux !

Net-iki (Fablab rural dans le Jura), Kelle Fabrik (projet de Fablab à Dijon), Open Edge (en Moselle), Nybi (Fablab & makerspace à Nancy), GSI (Nancy) et Fablab INSA (Strasbourg).Merci aux intervenants pour le déplacement et leurs témoignages !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Emmanuel présente une conférence « Lieu de rencontre, d’apprentissage et d’échange : la marque de fabrique du FabLab »

Bonus : interview par les blogueurs d’Alsace.

Merci aux blogueurs d’Alsace pour les photos qui illustrent cet article ! Un album photo complet du salon sur cette page.

 

 

 

Technistub sera présent au salon Cogito Expo 2013 à Strasbourg et parlera de fablab avec 2 autres fablabs Alsaciens.

 

COGITO est un salon professionnel sur des thèmes de l’économie numérique, de l’intelligence économique et de l’innovation. C’est en fait sur des thèmes voisins du Salon des Nouvelles Technologies (Octobre) où nous étions quelqu’uns à être allé puisqu’il y avait une table ronde sur les fablabs, mais sans être invité à participer…

COGITO voudrait mettre en avant les fablabs cette année avec des expositions de projets, des conférences et des stands.
Emmanuel Laurent fera une conférence sur l’une des thématiques fablab et pour présenter le Technistub. Il y aura également un  stand pour présenter quelques objets produits en impression 3D et avec la CNC. Ce sera une nouvelle occasion pour échanger avec des entreprises et des professionnels et leur montrer ce que l’on peut leur apporter comme services ou réalisations.

Cogito, c’est le jeudi 28 novembre à Strasbourg : http://www.coex13.com/
le programme : http://www.coex13.com/le-programme-2/

Vous êtes tous les bienvenus sur le stand, venez nombreux !

La fête de la Science a lieu le week-end du 11 au 13 octobre et cette année, Technistub aura un stand dans le village des sciences à l’université de la Fonderie. Nous serons placés dans la verrière à côté de la porte principale d’accès où nous partageons un stand avec un groupe de personnes qui porte un projet de fablab à l’UHA.

Nous allons présenter essentiellement l’impression 3D avec l’Ultimaker en fonctionnement et tenter une reproduction en live d’une imprimante 3D.

Vous pouvez trouver le programme complet de la fête de la science en Alsace ici : http://issuu.com/nef-des-sciences/docs/fetesciencealsace

Les horaires sont les suivants:

• Vendredi 11 et samedi 12 Octobre 9h – 18h
• Dimanche 13 Octobre 14h – 18h

Venez nous rendre visite !

Techniquement, Technistub se situe dans le quartier de Dornach à Mulhouse. Nous avons donc eu la possibilité de rencontrer les gens qui habitent notre quartier et celui voisin du Haut-Poirier lors de la 18e fête des quartiers de Dornch et Haut-Poirier qui a eu lieu le dimanche 8 Septembre 2013. En effet plusieurs associations locales (le CSC Bel Air, l’école de musique Saint-Barthélémy, l’ASCEN ou l’ADOR e.g.) y participent régulièrement, donc pourquoi pas Technistub ?

Nous avons apporté quelques  éléments classiques pour un fablab, des pièces réalisées à la CNC ou en fonderie numérique (Oui, Emmanuel aime beaucoup ce terme…) le vélo modifié par Manu et Martial et bien sûr une imprimante 3D !

Nous avons (entre autres) eu la visite du maire de la ville, Jean Rottner, sur notre stand. Celui-ci a parfaitement compris ce qu’est un fablab et nous encourage à continuer nos activités sur Mulhouse. D’autres membres de l’équipe municipale et des conseils de quartier sont également passés. Notamment le premier adjoint au Maire, Denis Rambaud, qui est aussi directeur de l’université populaire et avec qui les discussions ont été fort intéressantes et sympatiques et qui pourraient déboucher sur des collaborations futures.

L’intérêt a toujours été vif et bienveillant. Certains étaient surpris de la présence jusque là insoupçonnée d’un fablab dans leur quartier voire leur ville. Une bonne occasion pour nous de nous faire connaître donc.

Comme trop souvent, la star de la fête était l’imprimante 3D… On a beau raconter plein d’histoires super intéressantes sur la fonderie d’aluminium ou le fraisage numérique, dès que l’imprimante 3D tourne, il n’y a plus qu’elle qui existe 🙂

Il ne nous manquait que quelques flyers à distributer mais ce sera bientôt résolu…

Si l’agenda le permet, nous participerons probablement aussi à la 19e édition l’an prochain.

Tout le monde connait les réseaux Peer to Peer (P2P). Tout se passe on-line, croit-on savoir. En fait, pas tout à fait…

Aram Bartholl, un artiste Allemand a initié le projet Deaddrop en 2010. L’idée est de faire un « réseau anonyme d’échange de fichiers hors ligne, de pair à pair et dans l’espace public ». On aime l’idée !

Le manifeste “Dead Drops”

Dead Drops est un réseau d’échange de fichiers anonyme, hors-ligne, de pair à pair (P2P) dans les lieux publics. Tout le monde peut accéder aux Dead Drops et tout le monde peut installer un Dead Drop dans sa région ou dans sa ville. Un Dead Drop doit être accessible au public. Un Dead Drop à l’intérieur d’un bâtiment fermé ou dans un lieu privé avec accès limité ou temporaire n’est pas un Dead Drop. Un vrai Dead Drop est un périphérique de stockage en lecture/écriture sans logiciel spécifique. Les Dead Drops n’ont pas besoin d’être synchronisés ou connectés entre eux. Chaque Dead Drop possède son existence autonome. Un beau Dead Drop est cimenté dans un mur et ne laisse apparaître que son connecteur métallique USB Type-A ; il doit difficilement se remarquer. Les Dead Drops n’ont pas besoin de câble et n’utilisent pas de technologie sans fil. Vous n’avez besoin que de vous agenouiller ou tendre votre veste contre un mur pour partager vos fichiers hors ligne. Un Dead Drop est un support USB nu, auto-alimenté, intégré dans votre ville, le seul véritable espace public. À une époque de dématérialisation massive des échanges sur la Toile et de multiplication de gadgets sans accès aux fichiers locaux, nous avons besoin de repenser la liberté des échanges de données au niveau local. Le mouvement des Dead Drops est sur la voie de ce changement !

Libérez vos données dans le domaine public avec du ciment !
Faites votre propre Dead Drop maintenant !
Re-matérialisez vos fichiers aujourd’hui !

— Aram Bartholl 2010

L’idée est séduisante. Pour en installer une qq part, l’endroit doit être accessible au public et on peut répertorier sa deaddrop sur le site du projet : http://deaddrops.com/fr/
Du coup, il y a quelques temps, on a installé une deaddrop au Technistub, sur le mur de façade, sur le rebord d’une des fenêtres.

C’est vraiment pas très compliqué, il suffit de suivre les instructions ici.

Notre deaddrop est répertoriée sur le site global, on peut la trouver sur cette page. Il s’agit donc a priori de la 1373e deaddrop installée dans le monde…

Maintenant, libre à vous de venir mettre des fichiers dessus  et profitez-en pour venir nous voir !

Après l’article dans l’Alsace, les visiteurs se sont fait nombreux à Technistub ce vendredi 18 Janvier ! D’anciens usineurs et des retraités se sont pressés autour des machines outils pour découvrir le matériel à disposition et pour présenter leurs réalisations. Deux d’entre eux nous ont étonnés avec l’usinage d’un taraud sur mesure !

Ce vendredi, nous avons également travaillé sur l’aménagement de la zone mécanique. En effet, une fraiseuse est venu renforcer le parc machine. Quelques jours avant la machine a été réceptionnée :

                                                                                                                   La zone mécanique a été dégagée de tout son matériel et nettoyée.

   On en a profité pour déplacer la perceuse à colonne GSP vers la zone méca.

Au moment de passer les fourches du tire-palette sous le bati, nous avons découvert qu’il manquait 1cm de hauteur…Arghh… La machine pesant dans les 1500kg… Thierry nous a appris comment soulever ce type de machine : caler la machine sur bastaing, dévisser et monter un des pieds, mettre une cale sous le pied, descendre le pied, recommencer sur les autres pieds et enfin visser à fond les pieds pour monter la machine du cm manquant !

 

 

 

 

 

Et ce vendredi ? Nous avons poursuivi le job avec le déplacement de la fraiseuse à sa place définitive.

   

Eric de l’Electrolab (hackerspace parisien) est venu en renfort pour un nettoyage en profondeur de la perceuse. Admirez la position gymnastique! En fait, il cherche comment est fixé le plateau et ou se trouvent ses roulements.

A l’autre bout de l’atelier, Martial nous fait une démonstration d’électrozingage à froid, une méthode pour déposer une couche protectrice sur les aciers. Pour tout savoir sur la méthode et les dosages, consultez la page du wiki sur le sujet. Nul doute qu’on installera un poste dédié pour protéger nos pièces usinées, la méthode étant assez simple !

Nous avons également appris à utiliser la découpe plasma, outil redoutablement efficace pour découper de la tôle !

Pour ne pas se laisser abattre, nous avons fait quelques grillades de saucisses sur un barbecue découpé au plasma (comme il se doit !) dans un vieux bidon ! Comment ça il faisait -2°C ? Ah bon 😉